He is afraid that the people will, in the end, lose their patience, and so he gives to the happy mortals on this earth the following counsel:
_Riches, a vos plaisirs faites participer L'homme que les malheurs s'acharnent a frapper Oh, faites travailler le pere de famille, Pour qu'il puisse arbiter la pudeur de sa fille, Pourqu'aux petits enfants maigris par les douleurs Il rapporte, le soir, le pain et non des pleurs, Afin que son epouse, au desespoir en proie, Se ranime a sa vue et l'embrasse avec joie, Afin qua l'Eternel, a l'heure de sa mort. Vous n'offriez pas un coeur carie de remords_.
The expression certainly leaves much to be desired in these poems, but they are not lacking in eloquence. We had already had something of this kind, though, written by a poet who was not a bricklayer. He, too, had asked the rich the question following:
_Dans vos fetes d'hiver, riches, heureux du monde, Quand le bal tournoyant de ses feux vous inonde. . . Songez-vous qu'il est la, sous le givre et la neige, Ce pere sans travail que la famine assiege?_
He advises them to practise charity, the sister of prayer.
_Donnez afin qu'un jour, a votre derniere heure,
Contre tous vos peches vous ayez la Priere
D'un mendiant puissant au ciel_."